Dès son enfance, Jean-Guy est habité par le sentiment de l’existence de Dieu. Ne trouvant pas une spiritualité assez profonde dans la religion de ses parents, Jean-Guy amorce une importante quête spirituelle qui le conduira autour du monde. Dans le cours de sa quête, au Pakistan, il voit la main de Dieu le sauver miraculeusement d’une mort certaine. Forcé par la maladie à revenir au Canada, il est déçu de ne pas pouvoir explorer les religions orientales comme il l’aurait souhaité. Bien qu’il ne connaisse pas encore l’identité de Dieu, il est convaincu qu’il l’aime et qu’il ne désire pas qu’il devienne bouddhiste ou hindouiste.
La poursuite de sa quête le pousse ensuite en Floride et au Guatemala où il touche enfin à ce que son cœur cherchait. Pour lui, à présent, Dieu a un nom; il s’appelle Jésus, mais il ne le connaît pas encore personnellement.
De retour au Canada, l’un de ses amis vient tout juste d’expérimenter ce qui lui manque. Il lui explique que Jésus est mort sur la croix pour porter ses fautes et satisfaire la justice de Dieu à son égard. Sa longue quête de recherche de Dieu se termine alors qu’il répond par la foi à l’amour de Jésus et lui donne sa vie. « J’ai fait le meilleur choix de ma vie » dit-il, « parce que je savais qu’il en prendrait soin. »